« The Game Changers » Démasqué : La Vérité sur les Régimes Végétaliens et Votre Santé

Découvrez l'analyse scientifique percutante de la Dr. Zoë Harcombe qui démonte les mythes du documentaire 'The Game Changers' et remet en question les fondements du véganisme. De l'expérience trompeuse du 'sang trouble' aux affirmations non fondées sur la performance sportive, plongez dans une déconstruction méthodique des arguments végétaliens. Explorez la vérité sur le régime méditerranéen traditionnel et découvrez pourquoi l'agriculture régénératrice pourrait être la clé d'un avenir alimentaire durable. Un article essentiel pour comprendre les enjeux réels de l'alimentation et faire des choix éclairés pour votre santé.

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Le Mythe Végétalien Décortiqué : Une Experte remet les Pendules à l'Heure

Depuis le temps que j’en entendais parler, il était grand temps que je me penche sur ce sujet…

Dans cet article, nous allons plonger au cœur d’une interview fascinante avec la Dr. Zoë Harcombe, une chercheuse qui a décortiqué méthodiquement le film/documentaire « The Game Changers » et les arguments classiques en faveur du végétalisme. 

Préparez-vous, une nouvelle fois, à une remise en question radicale des dogmes nutritionnels ! 
Nous allons explorer ensemble quelques failles de ce documentaire, les mythes qui entourent l’alimentation végétale et, surtout, la réalité scientifique souvent cachée derrière les slogans accrocheurs. 
Êtes-vous prêt à découvrir ce que la Dr. Harcombe a à nous dire ?

« The Game Changers » : Un Regard Scientifique sur le Documentaire Controversé

« The Game Changers », sorti en 2018, a fait grand bruit en prônant un régime végétalien pour des performances sportives accrues et une santé optimale. 
Cependant, derrière les images séduisantes et les témoignages d’athlètes, une analyse plus approfondie révèle des failles importantes.
La Dr. Zoë Harcombe, experte en nutrition, a disséqué le documentaire avec un œil critique et scientifique, mettant en lumière des biais méthodologiques et un manque de rigueur scientifique.

La Dr. Harcombe souligne que « The Game Changers » est coupable de « cherry-picking », une pratique qui consiste à sélectionner uniquement les données qui confirment une hypothèse préconçue, ignorant celles qui la contredisent. 
Ce biais méthodologique majeur invalide les conclusions du documentaire et soulève des questions sur son objectivité. 
Comment peut-on prétendre à la vérité scientifique en ne présentant qu’une partie de l’histoire ?

L’expérience du « sang trouble » : Une illusion d’optique nutritionnelle.

L’une des scènes les plus marquantes de « The Game Changers » montre le sang d’une personne ayant consommé un repas riche en viande apparaissant trouble et opaque, contrastant avec le sang clair d’une personne ayant consommé un repas végétalien. 
Cette image saisissante a contribué à ancrer l’idée que la viande « encrasse » les artères. 
Or, la Dr. Harcombe explique que cette expérience est trompeuse. 
Ce que l’on observe est une augmentation des triglycérides, dont les glucides, et non les lipides, sont les principaux responsables. 
 » [C’est] seulement un paradoxe […] parce que vous avez en tête que graisse = graisse. Si je mange de la graisse, cela va me faire grossir. Si je mange de la graisse, cela va se retrouver sous forme de graisse dans le sang. Mais ce n’est tout simplement pas le cas. » 
L’expérience du « sang trouble » est donc une manipulation visuelle qui ne reflète pas l’impact réel de la viande sur la santé cardiovasculaire.

Le mythe de l’athlète vegan : Une performance à court terme, des risques à long terme ?

« The Game Changers » présente des athlètes de haut niveau adoptant un régime végétalien, suggérant qu’il est possible d’exceller en excluant tous les produits animaux. 
La Dr. Harcombe met en garde contre cette vision à court terme :  » [Voyez] dans deux ans quand elle sera comme ces influenceuses véganes sur Instagram qui disent ‘Oh, je suis vraiment désolée, je ne suis plus végane’. » 
La performance sportive immédiate ne garantit pas une santé durable. 
En réalité, un régime végétalien strict peut entraîner des carences en nutriments essentiels, comme la vitamine B12, cruciale pour le système nerveux, ou les oméga-3, importants pour la santé cardiovasculaire.
Ces carences, si elles ne sont pas corrigées par une supplémentation adéquate, peuvent avoir des conséquences graves sur la santé à long terme.
À l’inverse, le régime cétogène et particulièrement carnivore, en se basant sur des principes physiologiques ancestraux, met l’accent sur des nutriments essentiels, souvent carencés dans les régimes végétaliens.

Où sont les preuves ?  Une analyse scientifique qui fait défaut.

La Dr. Harcombe a exploré PubMed, la base de données de référence pour les publications scientifiques, afin d’évaluer les preuves soutenant un régime végétalien.
Son verdict est clair :  « Il n’y a tout simplement aucune preuve. » 
Elle explique que les études souvent citées en faveur du végétalisme sont observationnelles, c’est-à-dire qu’elles montrent une corrélation, mais n’établissent pas de lien de causalité. 
L’association observée entre consommation de végétaux et meilleure santé pourrait être due à d’autres facteurs, comme un niveau socio-économique plus élevé, permettant un accès à des soins de santé de meilleure qualité et un mode de vie globalement plus sain.
« [Ils] ont tout pour eux », observe la Dr. Harcombe. 
Illustrons ce point : une étude pourrait montrer une corrélation entre la consommation de thé vert et une diminution du risque de maladies cardiaques. 
Cela signifie-t-il que le thé vert est la cause directe de cette diminution ?
Pas forcément.
Il se pourrait que les buveurs de thé vert soient également plus enclins à pratiquer une activité physique régulière, facteur connu pour protéger le cœur. 
De même, la Dr. Harcombe critique l’étude souvent citée du Dr. Dean Ornish, dont les limitations méthodologiques remettent en question la validité des conclusions.

L’analyse rigoureuse de « The Game Changers » par la Dr. Harcombe met en évidence l’importance d’une approche scientifique et nuancée de l’information nutritionnelle.
Les images percutantes et les témoignages, aussi convaincants soient-ils, ne peuvent se substituer à des données probantes.
Maintenant que nous avons déconstruit quelques arguments fallacieux de « The Game Changers » (il y en a malheureusement bien d’autres…), examinons de plus près les trois principaux mythes qui persistent autour du végétalisme.

Végétarisme : 3 Mythes Déconstruits par la Science

Le végétarisme, et plus encore le véganisme, sont souvent présentés comme des choix alimentaires éthiques et sains.
Mais ces régimes reposent-ils sur des bases scientifiques solides, ou sont-ils construits sur des mythes?
La Dr. Zoë Harcombe déconstruit trois arguments phares souvent avancés en faveur du végétarisme, nous invitant à un regard critique sur nos croyances alimentaires.

Mythe 1 : Le végétarisme est meilleur pour la santé.

L’idée que supprimer les produits animaux est synonyme de meilleure santé est profondément ancrée dans l’inconscient collectif. 
Pourtant, la réalité physiologique est bien plus nuancée.
« Si vous suivez un régime végétalien, vous manquez de graisses essentielles sous la forme que le corps désire », explique la Dr. Harcombe.
Les oméga-3, par exemple, principalement présents sous forme de DHA et EPA dans les poissons gras, sont directement assimilables par notre organisme. 
Un régime végétalien, en revanche, nécessite une supplémentation en vitamine B12, exclusivement présente dans les produits animaux.
De plus, la biodisponibilité des nutriments, c’est-à-dire la capacité de notre corps à les absorber et les utiliser, est souvent moindre dans les végétaux.
Par exemple, le fer présent dans la viande (fer héminique) est bien mieux assimilé que le fer présent dans les épinards (fer non héminique), même si la quantité de fer affichée sur l’étiquette est similaire. 
De même, le rétinol, la forme active de la vitamine A, et la vitamine D3 sont plus biodisponibles dans les aliments d’origine animale. 
Qu’en est-il des protéines ? 
Construire des protéines complètes à partir de sources végétales exige une combinaison précise et parfois complexe d’aliments. 
« Franchement, bonne chance ! », ironise la Dr. Harcombe. 
Le simple fait de devoir recourir à une multitude de suppléments pour éviter les carences comme une carence en vitamine B12 (pouvant entraîner fatigue, troubles neurologiques et problèmes cardiaques) ou en oméga-3 (pouvant affecter la santé cardiovasculaire et cognitive), devrait nous alerter : est-ce une alimentation vraiment optimale pour notre physiologie ?
Ces carences, loin d’être bénignes, peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie.

Mythe 2 : Le végétarisme est meilleur pour les animaux.

L’argument du bien-être animal est souvent au cœur du choix d’un régime végétarien. 
Refuser de contribuer à la souffrance animale est une motivation louable, mais est-ce une vision complète de la réalité ?
La Dr. Harcombe, s’inspirant des travaux de Lierre Keith, auteure de « Le Mythe Végétarien », nuance cette perspective. 
Toute agriculture, même végétale, a un impact sur la faune. 
Prenons l’exemple de la laitue et des limaces : pour protéger sa récolte, le jardinier doit lutter contre les limaces, causant inévitablement leur mort. 
À plus grande échelle, l’agriculture intensive, avec ses gigantesques moissonneuses-batteuses, détruit de nombreux animaux : oiseaux, insectes, petits mammifères… 
Une étude de Fisher et Lame, « Field Deaths in Plant Agriculture », estime à 7 milliards le nombre d’animaux tués chaque année aux États-Unis par l’agriculture végétale. 
« Il n’y a rien que les gens puissent manger pour lequel rien n’est mort, et les gens doivent simplement être honnêtes à ce sujet », affirme la Dr. Harcombe. 
Il est important de nuancer cet argument : l’impact de l’agriculture végétale sur la faune dépend fortement des pratiques agricoles. 
L’agriculture intensive, avec son utilisation massive de pesticides et d’engrais chimiques, est particulièrement destructrice. 
L’agriculture biologique, en revanche, privilégie des méthodes plus respectueuses de l’environnement et de la biodiversité. 
Des alternatives existent, comme l’agriculture régénératrice, qui vise à minimiser l’impact environnemental tout en produisant des aliments nutritifs.

Paradoxalement, consommer un seul animal, comme une vache, pourrait nourrir une personne pendant un an avec un impact potentiellement moindre sur la biodiversité que la production d’une quantité équivalente de calories provenant de cultures végétales intensives.

Mythe 3 : Le végétarisme est meilleur pour la planète.

L’impact environnemental de l’élevage, notamment les émissions de méthane des ruminants, est régulièrement pointé du doigt. 
Cependant, la Dr. Harcombe appelle à la nuance. 
« Les termites produisent beaucoup plus de méthane que les vaches », rappelle-t-elle. 
Pourquoi une telle focalisation sur les vaches, alors ?
L’experte suggère des motivations économiques derrière la diabolisation de la viande. 
L’industrie agroalimentaire a intérêt à promouvoir les aliments transformés, souvent à base de végétaux, plutôt que les produits animaux non transformés. 
De plus, la Dr. Harcombe remet en cause l’argument du CO2, pourtant essentiel à la vie sur Terre. 
« Le CO2 est absolument vital, comme le cholestérol. Nous mourons sans lui. » 
Le CO2 est le pilier de la photosynthèse, le processus par lequel les plantes convertissent l’énergie solaire en énergie chimique. 
Sans CO2, pas de plantes, et donc pas de vie sur Terre. 
Il est donc primordial de nuancer le discours catastrophiste sur le CO2 et de reconnaître son rôle crucial dans l’écosystème.

Après avoir déconstruit ces trois mythes du végétarisme, penchons-nous sur un autre régime alimentaire souvent idéalisé : le régime méditerranéen. 
Est-il réellement aussi « végétal » qu’on le prétend ?

Le Vrai Régime Méditerranéen : Loin du Végétalisme !

Le régime méditerranéen est souvent érigé en modèle d’alimentation saine et équilibrée, riche en végétaux et pauvre en graisses saturées.
Il serait le secret d’une longévité exceptionnelle et d’une protection contre les maladies chroniques.
Mais cette image idyllique est-elle vraiment fidèle à la réalité ?
La Dr. Zoë Harcombe, forte de son expérience personnelle et de ses recherches, dénonce ce mythe et nous dévoile le vrai visage du régime méditerranéen.

La réalité du régime méditerranéen traditionnel : viande, poisson et produits laitiers gras à l’honneur.

« Je vais en Méditerranée chaque année […] et je peux vous assurer, la main sur le cœur, que le régime méditerranéen peut se résumer ainsi : si ça bouge, mangez-le ! », déclare la Dr. Harcombe. 
Loin de l’image végétarienne souvent véhiculée, le régime méditerranéen traditionnel repose en grande partie sur les produits animaux.
Viande, en particulier rouge, poisson, fruits de mer, fromage, yaourts entiers, œufs… tous ces aliments font partie intégrante de l’alimentation quotidienne. 
On peut citer le gigot d’agneau rôti, la bouillabaisse, les sardines grillées, la moussaka, les omelettes aux herbes… autant de plats emblématiques de la cuisine méditerranéenne où la viande, le poisson et les œufs sont à l’honneur. 
« Le plat principal est la viande ou le poisson, accompagnés de quelques haricots verts ou de pommes de terre au fromage », précise-t-elle.
Les légumes et les salades ont leur place, certes, mais ne constituent pas l’essentiel de l’assiette.
Les desserts, quant à eux, sont souvent à base de crème et non de sucre raffiné.
Pensez à la crème brûlée, au flan, à la glace… des douceurs riches en graisses animales.
Et les fruits ?
Consommés avec modération, loin des injonctions des « 5 fruits et légumes par jour ».

Le mythe du régime méditerranéen « végétalien » : une construction artificielle ?

Alors, comment expliquer cette idée répandue que le régime méditerranéen est majoritairement végétalien ?
La Dr. Harcombe met en cause les chercheurs, notamment ceux de Harvard, qui ont construit une représentation biaisée de ce régime, mettant l’accent sur la consommation de céréales complètes, de légumineuses, de fruits et légumes.
« C’est complètement faux ! », s’exclame-t-elle.
« Vous ne trouverez pas de céréales complètes en Méditerranée. Le pain français est blanc, la ciabatta italienne est blanche, le riz est blanc… ». 
Les légumineuses apparaissent parfois, mais en petite quantité, dans des plats comme le tajine d’agneau.
Cette représentation biaisée du régime méditerranéen sert souvent à promouvoir les recommandations nutritionnelles actuelles, qui privilégient les céréales complètes et limitent la consommation de graisses saturées.
Il est plus facile de convaincre le public d’adopter un régime « végétalisé » en le présentant comme la clé de la santé et de la longévité méditerranéennes. 
La véritable raison de la bonne santé des populations méditerranéennes, selon la Dr. Harcombe, réside dans un mode de vie globalement sain : beaucoup de soleil, source de vitamine D essentielle à la santé osseuse et immunitaire ; un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée, et un faible niveau de stress, contribuant à la santé mentale et émotionnelle, des facteurs souvent négligés ; et, bien sûr, une alimentation à base de « vrais aliments », non transformés.
Le mythe du régime méditerranéen « végétalien » est donc une construction artificielle qui masque l’importance des produits animaux dans ce mode d’alimentation traditionnel.

Le régime méditerranéen, loin d’être un modèle végétalien, nous rappelle l’importance d’une alimentation variée et non transformée, intégrant des produits animaux de qualité.
Mais comment concilier une telle alimentation avec les enjeux de la durabilité ?
C’est ce que nous allons explorer dans la section suivante.

Au-delà du Végétalisme : Un Avenir Alimentaire Durable

Face aux enjeux écologiques et sanitaires actuels, la durabilité de notre système alimentaire est au cœur des débats. 
Comment nourrir une population mondiale en constante augmentation tout en préservant les ressources de la planète ?
L’agriculture intensive, modèle dominant, est-elle la seule voie possible ?
La Dr. Zoë Harcombe explore des alternatives prometteuses, comme l’agriculture régénératrice, et nous incite à reconsidérer notre perception de l’élevage.

L’agriculture régénératrice : une solution d’avenir ?

L’idée que la production de viande est intrinsèquement insoutenable est un lieu commun.
Or, la Dr. Harcombe souligne l’absence de données scientifiques robustes pour appuyer cette affirmation.
Au contraire, un élevage raisonné, intégré à un système d’agriculture régénératrice, pourrait contribuer à la sécurité alimentaire mondiale, notamment dans les régions où les conditions climatiques ou géographiques limitent l’agriculture végétale.
L’agriculture régénératrice, bien plus qu’une tendance, propose une approche holistique, visant à restaurer la santé des sols, préserver la biodiversité et améliorer la qualité nutritionnelle des aliments. 
« Si l’on prend le modèle de Joel Salatin, avec l’agriculture régénératrice, on ne se contente pas d’avoir des animaux dans les champs.  On a des vaches qui paissent, des poulets qui picorent dans la même zone, des cochons qui mangent tout ce qu’ils trouvent… », explique la Dr. Harcombe.
Ce système, basé sur la symbiose entre les espèces, crée un écosystème fertile et résilient. 
Concrètement, l’agriculture régénératrice s’appuie sur des pratiques comme le pâturage tournant, où les animaux changent régulièrement de parcelle pour permettre aux sols de se régénérer, ou l’utilisation de cultures de couverture, qui protègent les sols de l’érosion et améliorent leur fertilité. 
Les ruminants, souvent accusés de contribuer au réchauffement climatique, jouent un rôle vital dans ce modèle : ils fertilisent les sols et stimulent la croissance des végétaux.  L’intégration d’arbres dans les pâturages permet, en outre, de stocker du carbone et de créer un habitat favorable à la faune.

Déconstruire les idées reçues sur l’élevage.

L’élevage intensif, avec ses impacts négatifs sur l’environnement et le bien-être animal, est souvent critiqué, à juste titre. 
Mais faut-il pour autant condamner tout type d’élevage ?
La Dr. Harcombe appelle à la nuance.
« Je ne suis pas convaincue que la façon dont nous faisons les choses actuellement soit la bonne », déclare-t-elle.
L’élevage extensif, respectueux du bien-être animal et intégré dans un système d’agriculture régénératrice, offre une alternative crédible.
En permettant aux animaux de vivre dans des conditions plus naturelles et de se nourrir d’herbe, il contribue à leur bien-être et réduit leur impact environnemental.
Leur présence sur les pâturages stimule la biodiversité et la santé des sols, contrairement à l’élevage intensif basé sur le confinement, source de pollution et de propagation de maladies. 
La Dr. Harcombe remet en cause la logique actuelle de substitution des terres agricoles par des installations d’énergies renouvelables (panneaux solaires, éoliennes), au nom de la transition écologique. 
Elle souligne l’absurdité de cette stratégie, rappelant que les énergies renouvelables, intermittentes par nature, dépendent d’un système de secours fiable, basé sur les énergies fossiles ou le nucléaire.
Le problème fondamental des énergies comme le solaire et l’éolien est leur intermittence.
La production fluctue au gré des conditions météorologiques, nécessitant un système de secours permanent pour stabiliser le réseau.
Les technologies de stockage d’énergie, comme les batteries, ne sont pas encore assez performantes pour pallier totalement cette intermittence, obligeant à recourir à des centrales à combustibles fossiles ou nucléaires.
« C’est complètement insensé de supprimer des terres agricoles qui pourraient être utilisées pour une agriculture régénératrice et accroître notre autosuffisance », insiste-t-elle.

L’agriculture régénératrice et l’élevage durable, loin d’être utopiques, constituent des solutions tangibles pour un système alimentaire plus sain et plus respectueux de notre environnement.
Il est temps de dépasser les idées préconçues et d’explorer des alternatives viables à l’agriculture intensive, pour une alimentation qui nourrit l’humanité sans épuiser la planète.

Pour Conclure...

Alors, sommes-nous réellement ce que nous mangeons ? 
L’analyse incisive de la Dr. Zoë Harcombe sur les dogmes alimentaires, notamment ceux véhiculés par des documentaires comme « The Game Changers », nous invite à une profonde réflexion. 
En tant qu’infirmière et thérapeute sensibilisée aux troubles du comportement alimentaire, et forte de mon propre parcours de guérison grâce à une alimentation céto-carnivore, je suis convaincue de l’importance d’une approche scientifique et nuancée de la nutrition. 
Les promesses alléchantes des régimes à la mode, souvent déconnectées des réalités physiologiques, peuvent engendrer confusion et frustration. 
Le mythe d’une alimentation végétale « miracle », meilleure pour la santé, les animaux et la planète, s’effrite face à l’analyse rigoureuse de la Dr. Harcombe.

L’argument du « moins de souffrance animale » souvent associé au végétalisme est mis à mal par la réalité de l’agriculture industrielle, qu’elle soit végétale ou animale. 
L’impact environnemental de nos choix alimentaires est un sujet complexe, qui ne peut se réduire à des slogans simplistes. 
L’agriculture régénératrice, basée sur une approche holistique et respectueuse des écosystèmes, apparaît comme une voie prometteuse. 
Elle réhabilite le rôle essentiel des animaux dans l’équilibre naturel et nous invite à repenser notre relation à la terre nourricière.

Et si la clé d’une alimentation saine et durable résidait dans un retour à la simplicité, à l’écoute de nos besoins physiologiques et au respect des écosystèmes ? 
L’alimentation cétogène et plus particulièrement carnivore, en se basant sur des principes ancestraux, offre une alternative intéressante aux dogmes nutritionnels modernes. 
Elle met l’accent sur des aliments non transformés, riches en nutriments essentiels, et s’inscrit dans une démarche de respect de la nature.

Cet article, j’espère, vous aura apporté un éclairage nouveau sur les enjeux complexes de l’alimentation. 
Il ne s’agit pas de vous dicter des choix alimentaires, mais de vous donner les clés pour une réflexion éclairée. 
N’hésitez pas à partager vos commentaires et vos réflexions juste en dessous. 
Ensemble, construisons un avenir alimentaire plus sain et plus durable. 

Pour aller plus loin, je vous encourage à explorer les autres ressources disponibles sur mon blog !
Par ailleurs, j’accompagne les personnes qui souhaitent transitionner en douceur et sécurité vers une alimentation Céto-Carnivore pour “simplement” retrouver une alimentation plus saine et plus adaptée à leurs besoins ou qui souhaitent se libérer de problématiques plus « complexes » comme les compulsions ou autres troubles du comportements alimentaires.
N’hésitez pas à me contacter pour en savoir plus.
Votre santé est entre vos mains, informez-vous et faites des choix éclairés.
🌺✨

Points Clés à retenir...

Analyse du Documentaire « The Game Changers »

Le documentaire présente des biais méthodologiques importants et manque de rigueur scientifique. L’expérience du « sang trouble » est trompeuse et les témoignages d’athlètes véganes ne reflètent pas les risques à long terme des carences nutritionnelles.

Déconstruction des Mythes Végétaliens

Trois mythes majeurs sont démontés : l’impact sur la santé (carences nutritionnelles), le bien-être animal (l’agriculture végétale tue aussi des animaux), et l’impact environnemental (remise en question des arguments sur le méthane et le CO2).

Le Vrai Régime Méditerranéen

Contrairement aux croyances populaires, le régime méditerranéen traditionnel est riche en produits animaux. La version « végétalisée » est une construction moderne qui ne reflète pas la réalité historique et culturelle.

Agriculture Régénératrice

Une alternative durable à l’agriculture intensive est présentée, intégrant l’élevage raisonné et des pratiques respectueuses de l’environnement, offrant une solution plus équilibrée que le véganisme.

 

Qui est le Dr Zoë Harcombe?

Le Dr. Zoë Harcombe est une chercheuse et auteure britannique de renommée internationale dans le domaine de la nutrition et de la santé publique.
Diplômée de l’Université de Cambridge avec une formation initiale en économie et mathématiques, elle a d’abord mené une brillante carrière en entreprise, atteignant le poste de Vice-présidente des Ressources Humaines pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique.

En 2008, elle quitte le monde de l’entreprise pour se consacrer à la recherche sur l’obésité. Elle obtient son doctorat en nutrition de santé publique en 2016, avec une thèse analysant les preuves scientifiques ayant conduit aux recommandations alimentaires sur les graisses.

Sa philosophie alimentaire repose sur trois principes fondamentaux : manger des aliments naturels, choisir les aliments pour leurs nutriments (privilégiant la viande, le poisson, les œufs et les produits laitiers), et manger au maximum trois fois par jour. Elle est particulièrement connue pour son analyse critique des recommandations nutritionnelles officielles et sa capacité à décortiquer les études scientifiques.

Basée dans la campagne galloise, elle partage aujourd’hui ses connaissances à travers des livres, des conférences internationales et son site web, contribuant significativement à la compréhension des liens entre alimentation et santé

 

6 commentaires

  1. Merci encore pour ce travail de traduction essentiel! Et qui encore une fois déconstruit des mythes à la peau dure (mais qui heureusement commence à se craqueler…). Bravo.

  2. Merci Sophy!
    Une perle, encore une fois.
    Je vais diffuser ce résumé traduit, j’ai plusieurs personnes de mon entourage qui seront intéressées par ces raisonnements…

  3. Merci Sophy ! Un article précieux et qui encore va m’aider à répondre aux commentaires axés sur le végétarisme / végétalisme

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